jeudi 15 mars 2012

Dans le Désert de l'Eternité


Dans le désert de l'éternité


 
Dans le désert, les dunes ondulent de leurs corps féminins éphémères et à chaque nouveau jour, le désert est différent de ce qu'il était la nuit d'avant. Ocre et Bleu, l'appel de la nature, comme l'ocre et le bleu en peinture donnent la couleur Verte, l'étoile du Berger, les astres de la nuit, rejoignent la terre de sable, où le temporel s'égraine dans le grand sablier du temps, qui façonne le corps du Désert grâce au Vent, souffle de Dieu Infini, sans nom, sans commencement et sans fin. Le Son du Silence se fait entendre, résonnant avec le silence intérieur et le silence de l'entre deux, où le temps et l'espace ont disparu pour faire place à l'immensité de l'Eternité.
 
 

vendredi 9 mars 2012

Flots créateurs

Ouvre tes voiles, prends le gouvernail et laisse toi porter par les flots. Ondulations dans les voiles, souffle du vent, capitaine et matelots chacun à ses tâches, les dauphins accompagnant la traversée, Oyé du navire, surfeurs internautes, dans l'immensité virtuelle et informationnelle, je vous dis à tout à l'heure dans les mouvements temporels, le flux éternel des vents et des marées, ancres du ciel et de la terre, flots créateurs et bienfaiteurs.

mardi 6 mars 2012

Au dessus des nids du coucou

Dans le regard de l'infini, la liberté joue aux billes comme le mystère joue avec le temps de manière a-causal dans son savoir faire. Ne cherchez pas trop le sens rationnel et linéaire, la sagesse de la poésie effleure l'oiseau et de ses ailes grandes ouvertes volent au-dessus des nids du coucou.

Au-dessus des nids de l'Aigle

Dans le regard de l'infini, la liberté joue aux billes comme le mystère joue avec le temps de manière a-causal dans son savoir faire. Ne cherchez pas trop le sens rationnel et linéaire, la sagesse de la poésie effleure l'oiseau et de ses ailes grandes ouvertes volent au-dessus des nids de l'aigle.
KH 2012